Mais combien y a-t-il de M. Bauquis ? (21/03/2017)
Depuis que ce blogue existe, deux personnalité d’élite émergent. L’une est celle du directeur diocésain de Paris, M. Canteneur, qui se distingue par ses paroles fausses et hypocrites. Autant de défauts qu’on ne saurait reprocher à M. Bauquis, directeur inter-diocésain du Lot et de l’Aveyron. Ses méthodes brutales, ses coups de force tonitruants, qui pourtant n’excluent pas l’usage du mensonge, ont déjà semé le trouble et la désolation à quatre reprises. On a peine à croire qu’un seul homme soit responsable d’autant de méfaits. Mais si.
M. Bauquis est un cadeau, qui n’existe que pour illustrer point par point les dérives de l’enseignement catholique sous contrat que ce blogue a pour mission de dénoncer : avec lui, carriérisme et affairisme se voient à l’œil nu. Comptable de profession, il se comporte comme tel, ne parle que de chiffres et mène une double politique, immobilière d’une part, clientéliste de l’autre. Contrairement à ses semblables, il ne se soucie même pas de parler la langue de buis. Il se contente de la langue de bois, et de bois massif.
Le dernière victime des entreprises scélérates de ce personnage se trouve à Rignac et Montbazens. Elle concerne l’opération de fusion-acquisition qui a eu lieu entre trois parties prenantes : le lycée agricole de Rignac ; l’école et collège Saint-Géraud de Montbazens ; enfin l’école Saint-Joseph et le collège Jeanne d’Arc de Rignac. Cette opération sera l’occasion d’un nouveau feuilleton qui va commencer très bientôt. Restez attentifs : vous ne serez pas déçu.
J’ai signalé aussi l’affaire de Lalbenque. Là, c’est le fondateur du collège Sainte-Thérèse a mystérieusement disparu, laissant à M. Bauquis le loisir de se parer des plumes du paon et de parader au côté de la nouvelle directrice, nommée par ses soins et, sans doute, éternellement reconnaissante.
J’avais au passage rapporté comment, au lycée François d’Estaing de Rodez, le Planning familial était comme chez lui pour répandre sa propagande, contraire en tout point à la doctrine catholique. En soulignant que, bien entendu, M. Bauquis n’avait pas levé le petit doigt pour corriger cette faute. Pas étonnant, de la part de quelqu’un qui ne cesse de répéter que l’enseignement sous contrat est « d’abord » l’école de la république. Etre catholique ? Il ne fait même plus semblant. Ses obédiences sont ailleurs.
Mais la première affaire portée à notre connaissance avait été celle de la suppression, baptisée « transfert », du collège du Sacré-Cœur de Sévérac-le-Château, prié de se suicider afin de laisser place à un nouveau collège à Laissac. Ne croyons surtout pas que M. Bauquis ait renoncé à ce projet. Ayant écarté d’un revers de main toute tentative de dialogue et de conciliation, il tente de réaliser par la force ce qu’il n’a pu faire par le droit.
Il y a trop longtemps que je n’ai pas donné de nouvelles des courageux défenseurs du Sacré-Cœur. Je me propose donc d’ajouter un épisode à ce feuilleton, avant de commencer celui de Rignac et Montbazens.
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