M. Bauquis veut la peau du Sacré-Cœur de Sévérac-le-Château. Il va de l’avant, certain qu’il pourra enfin s’emparer de ce collège qui ne lui appartient pas, pour servir ses projets personnels. Mais ne nous y trompons pas : la justice lui a donné tort une fois, elle pourrait bien recommencer. S’il présente son projet comme certain, vues d’architecte à l’appui, c’est avant tout pour désespérer les parents d’élèves de Sévérac et contribuer à la mort du Sacré-Cœur. Il se fait passer pour un bâtisseur. Il n’est qu’un démolisseur.