On a compris que les écoles catholiques sous contrat sont volontairement élitistes. On a compris qu’elles sont tenues en esclavage par les directions diocésaines et le secrétariat général. Cela serait admissible, à la limite, si cet élitisme et cette sujétion les avaient rendues de plus en plus catholiques. Le sont-elles, et si oui, où en est la preuve ? Telle est la troisième question posée à M. Canteneur. Il répond oui, bien entendu. Mais on comprend que c’est non.