Dans l’affaire qui agite Saint-Jean de Passy, je ne sais rien d’autre de MM. Clément et Ducret que ce que des gens dignes de confiance me disent, et dont l’abondance des soutiens qu’ils reçoivent témoigne. Mais mon rôle n’est pas de les défendre, ce que d’autres font mieux que moi. Je ne plaide pas l’acquittement, mais le non-lieu. Il y a toutefois bien un coupable. Mais je n’ai pas encore dit de quoi il était coupable : d’avoir monté de toutes pièce une affaire ; de s’en être mêlé sans en avoir le droit ; et tout cela à des fins personnelles.