Je n’ai pas été le seul, je crois, à m’étonner de la rapidité foudroyante avec laquelle le licenciement de M. Clément a été « autorisé » par l’archevêque de Paris, après une entremise de Mgr de Romanet qualifiée à l’origine d’audit, mais qui s’avère avoir été une simple enquête verbale, téléphonique selon toute présomption. Bien des choses demeurent d’ailleurs verbales, dans cette affaire. Les paroles s’envolent, et les écrits restent… invisibles.