M. Casoli, nommé à la tête du nouveau groupe scolaire né de la fusion des établissements de Rignac et Montbazens, a été soudain démis de ses fonctions, sans que les parents soient avertis des raisons de ce licenciement. On l’a accusé d’une « faute grave ». Quelle était cette faute, que personne, parmi les parents d’élèves en tout cas, n’avait aperçue ? C’est ce que nous allons essayer de découvrir.