L’entrefilet paru dans le Figaro magazine du 22 mai est une mine pour un exégète. Les déclarations lénifiantes et les postures apitoyées du directeur diocésain et du conseil d’administration, destinées à les faire passer pour des arbitres impartiaux dans une affaire dont ils sont en principe les procureurs, et en fait les coupables, ne font que renforcer la position de leurs contradicteurs. Et confirmer les conclusions des observateurs.
Les larmes du crocodile
