Des parents d’élèves de Saint-Jean de Passy et des professeurs de Sainte-Marie de Meaux se plaignent que ces écoles soient… catholiques. Voilà qui ne révèle pas seulement l’état d’esprit qui règne dans l’enseignement catholique sous contrat. Il dévoile la question de fond, qu’on oublie toujours de poser : celle de l’organisation. L’enseignement catholique ne souffre pas (seulement) de la présence de méchantes gens. Il souffre d’une organisation perverse, pilotée par des apostats parés du nom trompeur (ou révélateur) d’« humanistes ».