Les sermons et les homélies des directeurs diocésains ne sont pas les meilleurs dans ce genre littéraire. Et, surtout, ils contrastent avec la réalité qu’on peut observer dans les établissements. Plus les directeurs diocésains se prennent pour des ecclésiastiques, et plus les écoles se sécularisent. Ce n’est pas seulement le fruit d’une négligence. C’est le résultat délibéré d’une politique insidieuse, mais qui sait se faire autoritaire à l’occasion. Un exemple à Chartres.