Lorsque M. Balmand prend la parole en public, tout son art consiste à faire comprendre au ministre qu’il est son féal, tout en laissant croire à ses mandants (et cotisants) qu’il défend le « caractère propre » et qu’il fait entendre une voix dissonante. Cette méthode n’est pas seulement un moyen de propagande et de pouvoir. C’est aussi une recette du bonheur. Le résultat est que M. Balmand est toujours content.