En devenant professeur dans l’enseignement sous contrat, j’ai naturellement souhaité faire le catéchisme. A ma grande surprise, on m’a proposé d’être payé pour le faire. Et finalement, mes offres de service ont été dédaignées. Depuis, je me suis rendu compte que la mode était de bombarder « responsables de la pastorale » des laïcs, nommés et rémunérés par l’école. Cette façon de faire qui pose deux questions : s’agit-il encore de pastorale, et cette organisation est-elle légitime ? Ou bien le loup s’est-il déguisé en berger ?
Catéchisme
-
Cacophonie pastorale
-
Symphonie pastorale
Le 14 septembre dernier, l’émission En quête de sens de radio Notre-Dame se posait la question suivante : comment l’enseignement catholique favorise les relations entre parents d’élèves et écoles. Sachez-le d’emblée : cela se fait de manière excellente : « confiante », « cohérente », « positive », etc. Bref, tout va très bien. Ce qui n’empêche pas à une oreille attentive d’entendre, au milieu du galimatias auquel on est habitué, quelques déclarations étonnantes concernant, notamment, la pastorale.
-
A la recherche du catéchisme perdu
On a compris que les écoles catholiques sous contrat sont volontairement élitistes. On a compris qu’elles sont tenues en esclavage par les directions diocésaines et le secrétariat général. Cela serait admissible, à la limite, si cet élitisme et cette sujétion les avaient rendues de plus en plus catholiques. Le sont-elles, et si oui, où en est la preuve ? Telle est la troisième question posée à M. Canteneur. Il répond oui, bien entendu. Mais on comprend que c’est non.