Voilà quelque temps que je n’ai pas parlé de Rignac de Montbazens. Pourquoi ? Parce que les parents d’élèves du collège Saint-Géraud de Rignac, qui avaient quelques questions à poser, ont choisi de se taire. Pourquoi ? Parce qu’on le leur a demandé. Et qui le leur a demandé ? Tout simplement l’association qui est censée leur donner la parole. Mais moi, il est difficile de me faire taire, car je ne suis le porte-parole de personne ; je ne parle qu’en mon propre nom, et je demeure libre de commenter les événements qui se présentent à ma connaissance. Surtout quand ils démontrent, une nouvelle fois, l’hypocrisie et la trahison de l’Apel.
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La foire aux questions
M. Casoli, nommé à la tête du nouveau groupe scolaire né de la fusion des établissements de Rignac et Montbazens, a été soudain démis de ses fonctions, sans que les parents soient avertis des raisons de ce licenciement. On l’a accusé d’une « faute grave ». Quelle était cette faute, que personne, parmi les parents d’élèves en tout cas, n’avait aperçue ? C’est ce que nous allons essayer de découvrir.
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Courrier du cœur
Mécontents du brusque départ de M. Casoli et inquiets de la mauvaise ambiance qui s’est installée au collège Saint-Géraud de Montbazens, les parents d’élèves ont formé un collectif de soutien à ce collège. Ils ont écrit une lettre pour faire part de leurs doléances. Mais leur perte de confiance est telle à l’égard de la direction diocésaine et de la nouvelle direction de l’établissement que c’est à l’inspection académique du rectorat de Toulouse qu’ils l’ont adressée. Ils y signalent des faits, mais parlent aussi avec leur cœur.