Dans la réalité, comme dans la fiction, il y a des personnages secondaires et des héros. En tant que héros, ce blogue en distingue déjà deux, quoique dans des styles différents. D’abord le doux M. Canteneur, directeur diocésain de Paris, dans le genre tortueux, hypocrite et insinuant. Mais aussi le truculent M. Bauquis, directeur inter-diocésain de l’Aveyron et du Lot, dans le genre vulgaire, grossier et brutal. Mais tout aussi menteur. C’est ce dernier qui fait aujourd’hui son grand retour.
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D’où vient l’argent, M. Canteneur ?
Les directions diocésaines et l’administration de l’enseignement catholiques ne sont pas seulement des réseaux de carriéristes, méthodiquement noyautées dans ce but. Elles ne sont pas non plus seulement des instruments de domination d’écoles auxquelles on a systématiquement confisqué leurs libertés légitimes. Elles sont aussi des pompes à fric. La « fusion » des écoles Saint-Louis et Saint-Charles en offre un bel exemple. Voyons donc un peu d’où venait l’argent qui a financé cette opération.
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Le décret empoisonné
A la demande de l’association Soutien aux écoles libres (que j'en profite pour remercier), j’ai écrit un article à propos du décret de Mme Vallaud-Belkacem, déjà publié sur le site de cette association mais que je me permets de republier tel quel ici, où il a aussi sa place.