L’Evangile selon M. Balmand découle des Tables de la loi qui lui ont été remises par une autorité suprême encore mal connue. Il est parfois difficile de s’y retrouver dans ses déclarations chafouines, enjôleuses, spécieuses et emberlificotées, tout comme dans l’ésotérique statut de l’enseignement catholique dont il a été le grand architecte. C’est normal : tout cela n’est pas fait pour être compris. Il suffit que les fidèles (appelés aussi administrés, ou clients) obéissent aux dix commandements révélés à M. Balmand. Ces commandements annulent et remplacent les précédents (peu compatibles avec une saine laïcité et avec les subventions qui en résultent).
Les dix commandements de la soumission
