Voici le premier épisode d’un nouveau feuilleton des aventures palpitantes de M. Bauquis, ce bandit de grand chemin qui écume le Rouergue. Bientôt, il éclipsera dans les mémoires la bête du Gévaudan ! Cette fois, c’est du côté de Rignac et Montbazens qu’il commet ses forfaits. Sa victime ? Le directeur du nouveau groupe scolaire né de la fusion de plusieurs établissements. L’émotion soulevée par son renvoi brutal et inexpliqué est parvenue jusqu’à moi. Dommage pour M. Bauquis.
Sainte-Thérèse (Lalbenque)
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La bande à Bauquis a encore frappé !
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Mais combien y a-t-il de M. Bauquis ?
Depuis que ce blogue existe, deux personnalité d’élite émergent. L’une est celle du directeur diocésain de Paris, M. Canteneur, qui se distingue par ses paroles fausses et hypocrites. Autant de défauts qu’on ne saurait reprocher à M. Bauquis, directeur inter-diocésain du Lot et de l’Aveyron. Ses méthodes brutales, ses coups de force tonitruants, qui pourtant n’excluent pas l’usage du mensonge, ont déjà semé le trouble et la désolation à quatre reprises. On a peine à croire qu’un seul homme soit responsable d’autant de méfaits. Mais si.
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Les disparus de Sainte-Thérèse
Après une période héroïque de deux années, le collège Sainte-Thérèse de Lalbenque emménagea dans des locaux tout neufs qui furent inaugurés le 26 novembre. Toutefois, en lisant les reportages sur cette inauguration, on s’étonne tout à coup. Mais… où sont donc passés M. et Mme Jacquet, fondateurs du collège, et Mme Ladirat, auprès desquels M. Bauquis prenait fièrement la pose ? Ils ont disparu. M. Bauquis, par contre, est bien vivant, et déguste avec délices les fruits juteux de ses manigances.
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Lalbenque : une histoire de fantômes
Aux amateurs de frissons, je me propose à présent de raconter l’histoire du collège Sainte-Thérèse de Lalbenque, chef-lieu de canton du Lot qui compte un peu moins de deux mille habitants, mais avec une population jeune et en pleine croissance. Mais puisqu’on dit que « les gens heureux n’ont pas d’histoire », à quoi bon narrer celle-ci ? Patience. Dans ce premier épisode, M. Bauquis, le directeur diocésain, n’est encore qu’un ectoplasme. Mais bientôt, son spectre viendra hanter ce joli coin de campagne du Quercy.
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M. Bauquis est éternel
Dans la réalité, comme dans la fiction, il y a des personnages secondaires et des héros. En tant que héros, ce blogue en distingue déjà deux, quoique dans des styles différents. D’abord le doux M. Canteneur, directeur diocésain de Paris, dans le genre tortueux, hypocrite et insinuant. Mais aussi le truculent M. Bauquis, directeur inter-diocésain de l’Aveyron et du Lot, dans le genre vulgaire, grossier et brutal. Mais tout aussi menteur. C’est ce dernier qui fait aujourd’hui son grand retour.