La lettre de M. Canteneur, dans laquelle il expose les « quatre axes » destinés à guider l’action de la future directrice de Saint-Christophe, a une suite. Sans quitter son ton enjôleur et onctueux, il quitte la langue de bois pour le langage des belles promesses (les deux font bon ménage). Ces promesses n’ont pas été tenues. A-t-il jamais eu l’intention de le faire ? Laissons-lui encore un moment le bénéfice du doute ; mais soyons sans crainte : les mensonges avérés viendront plus tard.
M. Canteneur, marchand de sable
