A Sévérac-le-Château, la rentrée s’est passée normalement au collège du Sacré-Cœur. Et ça, ce n’est pas normal. Du moins aux yeux du directeur dit diocésain, M. Bauquis, qui avait affirmé que le collège rouvrirait bien, mais à Laissac. Malheureusement pour lui, il s’est heurté à la résistance des responsables du collège. Et c’est lui qui s’y est cassé les dents.
Bauquis (Claude) - Page 3
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M. Bauquis, arracheur de dents
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La mauvaise cause de M. Bauquis
M. Bauquis, directeur diocésain, a décidé que le collège du Sacré-Cœur de Sévérac-le-Château serait mieux ailleurs, en l’occurrence à Laissac. Il avance de nombreux arguments, et quand l’un d’eux est réfuté, un autre le remplace aussitôt. Devant l’opposition de l’O.G.E.C. et des parents d’élèves contre ce « déplacement » n’est autre qu’une suppression, il a fini par traîner les récalcitrants devant la justice. Par quels procédés ? Et de quel droit ?
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Sévérac-le-Château : arrêt sur image
Le lundi 4 avril, le tribunal de grande instance de Rodez, statuant en référé, a nommé un administrateur provisoire à l’O.G.E.C. du collège du Sacré-Cœur. Que faut-il penser de cette décision de justice ? Pour qui est-elle une victoire ? Sans doute pas pour le directeur diocésain, M. Bauquis. Qui toutefois, grâce à elle, passera peut-être à la postérité !
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Sévérac-le-Château : le Sacré-Cœur en accusation
Vendredi 1er avril, le président de l’O.G.E.C. Sacré-Cœur Bon-Pasteur de Sévérac était assigné en référé au tribunal de grande instance de Rodez par la direction diocésaine pour « non-respect des statuts de l’enseignement catholique ». La direction diocésaine lui reproche de ne pas avoir signé l’avenant au contrat d’établissement permettant le transfert du collège du Sacré-Cœur de Sévérac, où il existe depuis 1880, à Laissac.
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Sévérac-le-Château : haut les mains... peau de lapin !
Lundi dernier, le 14 mars, le collectif de soutien au collège Sacré-Cœur tenait une réunion publique au cours de laquelle il faisait valoir quelques arguments qui risquent de mettre les projets de M. Bauquis en difficulté. Car les sacro-saints « statuts de l’enseignement catholique » ont beau organiser la toute-puissance du directeur diocésain, leur valeur juridique est on ne peut plus fragile. Il semble même que leur style obscur et redondant ait pour but de masquer le néant sur lequel cette autorité repose.
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M. Bauquis joue du pipeau
On savait que M. Bauquis aime les chiffres. On savait qu’il aime aussi les conférences de presse. Il a aussi publié un interminable communiqué de presse pour justifier son coup de force contre le collège du Sacré-Cœur de Sévérac-le-Château. C’est plus commode que de dialoguer avec les intéressés. Mais ce communiqué a le mérite de faire apparaître dans toute sa splendeur l’incohérence de ses arguments, auxquels les responsables légitimes du collège ont répondu.