Un collectif de soutien au collège du Sacré-Cœur de Sévérac s’est constitué. Qui rassemble-t-il ? Tout le monde, sauf la direction diocésaine. Ce collectif a publié le 16 février une longue lettre ouverte que je vais commenter ici. Elle prouve que ce cas d’école conforte en tout point les analyses que je développe dans ce blogue.
Bauquis (Claude) - Page 4
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M. Bauquis reçoit du courrier
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François-d'Estaing de Rodez : la morale toute nue
Sont-ils des héros ou des maudits ? Il y a des personnages qu’on ne peut plus perdre de vue une fois qu’on en fait connaissance. Tel est le cas de M. Bauquis, directeur interdiocésain de Cahors et Rodez. Je parlais il y a quelques semaines des intrusions du Planning familial dans les écoles catholiques. Et voilà que ça recommence, ou plutôt que ça continue. Où ? Je vous le donne en mille : à Rodez.
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Au théâtre de Guignol
En ces temps de vacances, je propose d’emmener mes lecteurs à une séance du théâtre de Guignol, qui s’est tenue le 13 février à Lacapelle-Marival. Avec tous les personnages préférés des enfants, notamment M. Balmand (dans le rôle de Guignol), Mme Saliou (dans celui de Madelon) et bien entendu l’inénarrable M. Bauquis (dans le rôle de Gnafron, qui lui va comme un gant). Que le spectacle commence !
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Directeurs diocésains, de quel chapeau sortez-vous ?
Les statuts de l’enseignement catholique prévoient que les directeurs diocésains soient nommés par l’évêque. C’est fort bien dit, mais comment cela se passe-t-il en réalité ? Selon quels critères les évêques choisissent-ils, et quelle est leur marge de manœuvre ? Dans bien des cas, elle est faible, et tout est organisé pour qu’elle le soit. Quand un nouvel évêque est nommé, il est d’ordinaire curé de paroisse (et parfois vicaire général). Comment aurait-il dans sa manche une personnalité capable de tenir le rôle de directeur diocésain ? Qu’à cela ne tienne ! Il existe une administration toute disposée à le tirer de ce mauvais pas : le secrétariat général de l’enseignement catholique.
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Mme Saliou, à votre service
En apprenant que Mme Saliou se rendait dans le Quercy, on aurait pu se dire qu’elle volait au secours des Apel locales malmenées par les abus de la direction diocésaine. C’est mal la connaître. La présidente de l’Unapel, chevalier de la Légion d’honneur par la grâce de M. Peillon, ne s’abaisse pas à arbitrer les querelles de clochers, ou à défendre un vulgaire collège de province. Elle est non seulement décorée, mais aussi décorative. Si elle s’est rendue dans le Lot, c’et pour honorer de sa présence la présentation du nouveau « projet pédagogique » du directeur diocésain.
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Laissac : au pays des maquignons
J’ai dit de M. Bauquis, directeur diocésain de Rodez, qu’il avait un esprit d’épicier ; je me suis trompé : il a une âme de maquignon. Laissac est en effet connue pour sa foire aux bestiaux, et je ne doute pas que M. Bauquis, bien qu’il soit étranger au pays, ne s’y sente à son aise. Le maire de la commune et lui-même parlent le même langage, comme on va le voir.