Les sermons et les homélies des directeurs diocésains ne sont pas les meilleurs dans ce genre littéraire. Et, surtout, ils contrastent avec la réalité qu’on peut observer dans les établissements. Plus les directeurs diocésains se prennent pour des ecclésiastiques, et plus les écoles se sécularisent. Ce n’est pas seulement le fruit d’une négligence. C’est le résultat délibéré d’une politique insidieuse, mais qui sait se faire autoritaire à l’occasion. Un exemple à Chartres.
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Notre-Dame de Chartres : prière interdite !
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Ne m’appelez plus « diocésaine »
Les directions « diocésaines » de l’enseignement catholique sont-elles vraiment des services diocésains, ou cette appellation est-elle usurpée ? Parents, chefs d’établissements, croyez-vous que la direction diocésaine de l’enseignement catholique est sous l’autorité de l’évêque, comme le sont le service des vocations ou du catéchuménat ? Vous vous trompez, parce qu’on vous trompe.
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Le pluralisme tautologique
Pourquoi ce fameux C.O.D.I.E.C., doté par les statuts de l’enseignement catholiques de pouvoirs exorbitants, reste-t-il dans l’ombre, tandis que la personnalité du directeur diocésain, si falote soit-elle, reçoit la lumière ? La réponse est dans la composition de ce comité, dont la recette est un chef-d’œuvre digne de servir de modèle à tous les apprentis usurpateurs.
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Quia nominor leo
Comment ce lilliputien, cet homoncule, ce non-être qu’est le directeur diocésain a-t-il réussi à faire la pluie et le beau temps, à devenir le grand maître et le tuteur des écoles, sur lesquelles il s’est arrogé un droit de vie et de mort ? En s’appuyant sur une instance méconnue, un organe administratif monstrueux (mais génial) qui enferme et neutralise tous les acteurs légitimes des écoles catholiques : le C.O.D.I.E.C.