Je n’ai parlé que de quelques écoles victimes des coups de force des directions dites diocésaines : Sainte-Marie-Jeanne-d’Arc de Langon, la Providence de Pas-en-Artois, le Sacré-Cœur de Sévérac. Mais il y en a d’autres. Par exemple, celle d’Ambrières-les-Vallées, dans le département de la Mayenne. Les parents ont protesté. La direction diocésaine ne les a pas écoutés. L’Apel nationale a fait mine de rien. La routine, quoi.
Saint-Joseph (Ambrières-les-Vallées)
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Ambrières-les-Vallées : variation sur un air connu
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Le temps passe, Mme Saliou…
Une petite visite sur la page Facebook de l’Apel nationale m’a laissé rêveur. De quoi parle-t-on partout, à la sortie des écoles, dans les salles des professeurs, dans les journaux ? De la réforme du collège. Et de quoi l’Apel nationale parle-t-elle ? De tout. De rien. Mais en tout cas jamais de cette réforme. Le congrès des Apel approche. Ne serait-il pas temps de parler à vos mandants des questions qui les intéressent ?
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Mme Saliou, à votre service
En apprenant que Mme Saliou se rendait dans le Quercy, on aurait pu se dire qu’elle volait au secours des Apel locales malmenées par les abus de la direction diocésaine. C’est mal la connaître. La présidente de l’Unapel, chevalier de la Légion d’honneur par la grâce de M. Peillon, ne s’abaisse pas à arbitrer les querelles de clochers, ou à défendre un vulgaire collège de province. Elle est non seulement décorée, mais aussi décorative. Si elle s’est rendue dans le Lot, c’et pour honorer de sa présence la présentation du nouveau « projet pédagogique » du directeur diocésain.
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Quia nominor leo
Comment ce lilliputien, cet homoncule, ce non-être qu’est le directeur diocésain a-t-il réussi à faire la pluie et le beau temps, à devenir le grand maître et le tuteur des écoles, sur lesquelles il s’est arrogé un droit de vie et de mort ? En s’appuyant sur une instance méconnue, un organe administratif monstrueux (mais génial) qui enferme et neutralise tous les acteurs légitimes des écoles catholiques : le C.O.D.I.E.C.