En juin 2013, M. Le Maire fut invité à signer son livre Jours de pouvoir, d’une part aux « journées missionnaires » de Saint-Louis-de-Gonzague, plus connu sous le nom de Franklin, d’autre part à la fête du collège Stanislas. Dans les deux cas, un tollé de parents d’élèves et d’anciens élèves conduisit les directeurs de ces établissements à décommander sa venue. Mais les manières de le faire ont été bien différentes, ce qui éclaire d’un jour intéressant le caractère des deux établissements.
Chronique de l’école privée... de liberté - Page 7
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Franklin et Stanislas : le tournoi
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Franklin saisi par la macronite
Comme chacun a pu l’apprendre, Mme Macron a été professeur de français. Mais pas n’importe où : dans l’enseignement catholique. Et là encore, pas n’importe où : à Saint-Louis-de-Gonzague, rue Franklin. Qui ne tarit pas d’éloge sur elle… Un tel enthousiasme peut inspirer quelques réflexions sur la manière dont on recrute les professeurs de l’enseignement sous contrat.
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Le silence est d’or
Voilà quelque temps que je n’ai pas parlé de Rignac de Montbazens. Pourquoi ? Parce que les parents d’élèves du collège Saint-Géraud de Rignac, qui avaient quelques questions à poser, ont choisi de se taire. Pourquoi ? Parce qu’on le leur a demandé. Et qui le leur a demandé ? Tout simplement l’association qui est censée leur donner la parole. Mais moi, il est difficile de me faire taire, car je ne suis le porte-parole de personne ; je ne parle qu’en mon propre nom, et je demeure libre de commenter les événements qui se présentent à ma connaissance. Surtout quand ils démontrent, une nouvelle fois, l’hypocrisie et la trahison de l’Apel.
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La foire aux questions
M. Casoli, nommé à la tête du nouveau groupe scolaire né de la fusion des établissements de Rignac et Montbazens, a été soudain démis de ses fonctions, sans que les parents soient avertis des raisons de ce licenciement. On l’a accusé d’une « faute grave ». Quelle était cette faute, que personne, parmi les parents d’élèves en tout cas, n’avait aperçue ? C’est ce que nous allons essayer de découvrir.
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Courrier du cœur
Mécontents du brusque départ de M. Casoli et inquiets de la mauvaise ambiance qui s’est installée au collège Saint-Géraud de Montbazens, les parents d’élèves ont formé un collectif de soutien à ce collège. Ils ont écrit une lettre pour faire part de leurs doléances. Mais leur perte de confiance est telle à l’égard de la direction diocésaine et de la nouvelle direction de l’établissement que c’est à l’inspection académique du rectorat de Toulouse qu’ils l’ont adressée. Ils y signalent des faits, mais parlent aussi avec leur cœur.
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Touche pas au grisbi !
D’ordinaire, Mme Saliou est muette. Elle est muette quand des livres pornographiques sont introduits dans les écoles catholiques. Elle est muette quand les établissements sont supprimés contre l’avis des parents. Bref, elle n’ouvre d’ordinaire la bouche que pour y introduire des petits fours. Ou bien pour approuver toutes les réformes imposées par le gouvernement. Mais quand il est question d’argent, c’est autre chose. Tout à coup, elle a plein de choses à dire : et c’est le cas depuis que M. Mélanchon propose de supprimer le financement public de l’enseignement sous contrat.