Dans le catholicisme réduit à ses produits dérivés, tel qu’il est vu par le secrétariat général de l’enseignement catholique, l’« attention portée à chacun » est un maître mot. Mais ce n’est qu’un mot. Cette association de carriéristes a fait du « réseau » qu’elle administre une annexe de l’enseignement public – et un instrument de pouvoir. Au mépris des lois civiles et canoniques. Les professeurs sont des pions qu’il déplace à sa guise. En voici un exemple.
Chronique de l’école privée... de liberté - Page 5
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Des profs ou des pions ?
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Accouchement sous X... ou sous Y ?
Les scandales épisodiques concernant les spectacles tendancieux, les intrusions du Planning familial et autres manifestations d’apostasie dans les écoles catholiques sous contrat ne sont que les symptômes éruptifs d’un mal chronique. Qui est double. En surface, sujétion à des programmes incompatibles avec la foi catholiques. En profondeur, pénétration par des réseaux carriéristes dont le but véritable n’est pas toujours apparent. Illustration dans le diocèse de Rodez.
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Plainte contre X... ou contre Y ?
L’affaire a été soulevée par Riposte catholique : des parents d’élèves de plusieurs collèges de l’Aveyron se sont émus de la mise au programme de la pièce X, Y et moi ? Je tiens à dire quelques mots de cette affaire, soulevée par Riposte catholique, car il me semble que les critiques de ce site et celles de Boulevard Voltaire, pour légitimes qu’elles soient, sont passées à côté de certains aspects liés au fonctionnement de l’enseignement catholique sous contrat. Elles se sont montrées excessives sur certains points ; mais, en fait, le fond de l’affaire est plus grave qu’il n’y paraît.
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Cacophonie pastorale
En devenant professeur dans l’enseignement sous contrat, j’ai naturellement souhaité faire le catéchisme. A ma grande surprise, on m’a proposé d’être payé pour le faire. Et finalement, mes offres de service ont été dédaignées. Depuis, je me suis rendu compte que la mode était de bombarder « responsables de la pastorale » des laïcs, nommés et rémunérés par l’école. Cette façon de faire qui pose deux questions : s’agit-il encore de pastorale, et cette organisation est-elle légitime ? Ou bien le loup s’est-il déguisé en berger ?
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Symphonie pastorale
Le 14 septembre dernier, l’émission En quête de sens de radio Notre-Dame se posait la question suivante : comment l’enseignement catholique favorise les relations entre parents d’élèves et écoles. Sachez-le d’emblée : cela se fait de manière excellente : « confiante », « cohérente », « positive », etc. Bref, tout va très bien. Ce qui n’empêche pas à une oreille attentive d’entendre, au milieu du galimatias auquel on est habitué, quelques déclarations étonnantes concernant, notamment, la pastorale.
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M. Balmand lit la loi à l’envers
Voilà que M. Balmand, secrétaire général de l’enseignement catholique, découvre la réalité de la situation de l’enseignement sous contrat. C’est ce qui ressort de son dernier « point presse ». Il aurait bien voulu être, pour le ministre de l’éducation, un partenaire. Mais ce n’est pas du tout ce que prévoit la loi Debré de 1959, qu’il invoque bien mal à propos.
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