Le concepteur de la centralisation de l’enseignement catholique a été la commission épiscopale du monde scolaire et universitaire. L’exécuteur a été le secrétariat général, assisté du comité national de l’enseignement catholique (C.N.E.C.). Pour mener à bien cette conquête, ce duo infernal n’a rien trouvé de mieux que de se répliquer lui-même à l’identique, dans chaque diocèse, sous la forme du C.O.D.I.E.C., instrument de domination du directeur diocésain.
Moi c’est moi, et lui c’est encore moi
