Le secrétariat général de l’enseignement catholique et ses succursales (directions diocésaines, association des parents), ne manquent jamais de seriner que les parents sont les « premiers éducateurs » des enfants. C’est fort aimable à eux. Malheureusement, c’est au mieux une erreur, au pire un mensonge… intentionnel ?
Direction diocésaine - Page 6
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Eduquer les enfants : droit inaliénable des parents
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Sartrouville : la direction diocésaine est muette ?
Le 5 janvier, un instituteur de l’école Saint-Martin de Sartrouville a été arrêté pour des attouchements à l’encontre d’élèves, des garçons de huit à onze ans. Après avoir nié, il a avoué, et le parquet de Versailles a dressé un réquisitoire supplétif pour viol. Que faut-il cacher dans cette affaire ? Le fait que l’école est catholique ? Ou que l’instituteur en question est homosexuel ? Sans cacher ni l’un ni l’autre, tâchons de poser les bonnes questions.
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Langon : ce que l’affaire a démontré
Epilogue
C’est bien volontiers que je laisse entièrement la parole à M. Laguérie pour l’épilogue (provisoire) des aventures de Sainte-Marie-Jeanne-d’Arc, car ses conclusions rejoignent en tout point celles que j’ai tirées, dans mon livre l’Ecole privée… de liberté, de mon passage au sein de l’enseignement catholique sous contrat. Il est toujours réconfortant de rencontrer des gens qui, d’expériences différentes, tirent des leçons identiques. On se sent moins seul. Vous tous qui êtes confrontés aux mêmes abus, sachez-le : vous n’êtes plus seuls.
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Langon : résistance à l’oppression
Cinquième épisode
Même quand on commence à connaître les grandes et les petites combines des directions diocésaines, on ne peut qu’être étonné de ce qui s’est produit à Sainte-Marie-Jeanne-d’Arc. D’habitude, elles emploient pour mettre les écoles sous leur coupe des méthodes plus détournées que la constitution d’un O.G.E.C. parallèle. Ce qui s’est produit… et se produit encore. Car l’affaire n’est pas close. Les parents et les responsables légitimes de l’école ont en effet décidé de se défendre.
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Langon : Main basse sur l’école
Quatrième épisode
Mais que se passait-il là-bas, à Bordeaux, pendant que l’O.G.E.C. et les parents d’élèves de Sainte-Marie-Jeanne-d’Arc de Langon s’inquiétaient de l’avenir de leur école, et adressaient à la direction diocésaine des lettres sans réponse ? Cette dernière avait-elle oublié l’existence de cet établissement ? Loin de là. Dans l’ombre et le silence, elle préparait son coup de force.
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Langon : le diocèse ne répond plus
Troisième épisode
Dans l’éditorial qu’on peut lire sur le site officiel de l’enseignement catholique, M. Balmand, affirme : « Nous nous efforçons de promouvoir une collaboration confiante entre les familles et l’école. » S’efforcer de faire une chose n’est pas forcément y parvenir. Et affirmer qu’on fait une chose n’empêche pas de faire le contraire. Voyons maintenant, dans les tribulations de Sainte-Marie-Jeanne-d’Arc, qui a fait confiance à qui, et si cette confiance a été bien placée.