Un collectif de soutien au collège du Sacré-Cœur de Sévérac s’est constitué. Qui rassemble-t-il ? Tout le monde, sauf la direction diocésaine. Ce collectif a publié le 16 février une longue lettre ouverte que je vais commenter ici. Elle prouve que ce cas d’école conforte en tout point les analyses que je développe dans ce blogue.
Sacré-Coeur (Sévérac-le-Château) - Page 3
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M. Bauquis reçoit du courrier
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François-d'Estaing de Rodez : la morale toute nue
Sont-ils des héros ou des maudits ? Il y a des personnages qu’on ne peut plus perdre de vue une fois qu’on en fait connaissance. Tel est le cas de M. Bauquis, directeur interdiocésain de Cahors et Rodez. Je parlais il y a quelques semaines des intrusions du Planning familial dans les écoles catholiques. Et voilà que ça recommence, ou plutôt que ça continue. Où ? Je vous le donne en mille : à Rodez.
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Le temps passe, Mme Saliou…
Une petite visite sur la page Facebook de l’Apel nationale m’a laissé rêveur. De quoi parle-t-on partout, à la sortie des écoles, dans les salles des professeurs, dans les journaux ? De la réforme du collège. Et de quoi l’Apel nationale parle-t-elle ? De tout. De rien. Mais en tout cas jamais de cette réforme. Le congrès des Apel approche. Ne serait-il pas temps de parler à vos mandants des questions qui les intéressent ?
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Au théâtre de Guignol
En ces temps de vacances, je propose d’emmener mes lecteurs à une séance du théâtre de Guignol, qui s’est tenue le 13 février à Lacapelle-Marival. Avec tous les personnages préférés des enfants, notamment M. Balmand (dans le rôle de Guignol), Mme Saliou (dans celui de Madelon) et bien entendu l’inénarrable M. Bauquis (dans le rôle de Gnafron, qui lui va comme un gant). Que le spectacle commence !
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Pas-en-Artois : les parents retroussent leurs manches
La direction diocésaine d’Arras, comme toutes les autres, se croit propriétaire des établissements qui se trouvent sur son territoire. Mais les trente-trois familles des élèves de l’école de Pas-en-Artois ont décidé de ne pas se laisser faire. Pendant que Mme Saliou, au lieu de les défendre, fait des ronds de jambes en compagnie des directeurs diocésains, les parents ont retroussé leurs manches.
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Mme Saliou, à votre service
En apprenant que Mme Saliou se rendait dans le Quercy, on aurait pu se dire qu’elle volait au secours des Apel locales malmenées par les abus de la direction diocésaine. C’est mal la connaître. La présidente de l’Unapel, chevalier de la Légion d’honneur par la grâce de M. Peillon, ne s’abaisse pas à arbitrer les querelles de clochers, ou à défendre un vulgaire collège de province. Elle est non seulement décorée, mais aussi décorative. Si elle s’est rendue dans le Lot, c’et pour honorer de sa présence la présentation du nouveau « projet pédagogique » du directeur diocésain.