Je n’ai parlé que de quelques écoles victimes des coups de force des directions dites diocésaines : Sainte-Marie-Jeanne-d’Arc de Langon, la Providence de Pas-en-Artois, le Sacré-Cœur de Sévérac. Mais il y en a d’autres. Par exemple, celle d’Ambrières-les-Vallées, dans le département de la Mayenne. Les parents ont protesté. La direction diocésaine ne les a pas écoutés. L’Apel nationale a fait mine de rien. La routine, quoi.
Chronique de l’école privée... de liberté - Page 18
-
Ambrières-les-Vallées : variation sur un air connu
-
M. Bauquis reçoit du courrier
Un collectif de soutien au collège du Sacré-Cœur de Sévérac s’est constitué. Qui rassemble-t-il ? Tout le monde, sauf la direction diocésaine. Ce collectif a publié le 16 février une longue lettre ouverte que je vais commenter ici. Elle prouve que ce cas d’école conforte en tout point les analyses que je développe dans ce blogue.
-
François-d'Estaing de Rodez : la morale toute nue
Sont-ils des héros ou des maudits ? Il y a des personnages qu’on ne peut plus perdre de vue une fois qu’on en fait connaissance. Tel est le cas de M. Bauquis, directeur interdiocésain de Cahors et Rodez. Je parlais il y a quelques semaines des intrusions du Planning familial dans les écoles catholiques. Et voilà que ça recommence, ou plutôt que ça continue. Où ? Je vous le donne en mille : à Rodez.
-
Recrutement sous la contrainte
Les jurys du préaccord collégial dépouillent illégitimement et illégalement les chefs d’établissements des prérogatives que la loi leur accorde. Mais les directions diocésaines ne se contentent pas de cette demi-usurpation. Elles se comportent en propriétaires des établissements, traitent les chefs d’établissement comme de vulgaires subordonnés et emploient des méthodes qui dépouillent les écoles des dernières miettes de leur liberté. L’exemple de Paris est éloquent.
-
Avant-première : déclaration finale du congrès de l’Apel
Je livre aujourd’hui un document ultraconfidentiel qui évitera peut-être à certains un long et fastidieux déplacement jusqu’à Marseille au mois de juin prochain. Il s’agit de la déclaration de clôture du congrès des Apel. C’est cadeau : il suffira aux organisateurs de la recopier. Les parents d’élèves auront la joie d’y découvrir à l’avance, ciselées dans une langue pure et élégante, des réponses franches et claires à toutes les questions qu’ils se posent, notamment à celle-ci, qui les taraude depuis l’époque de Charlemagne : « Pourquoi l’école ? »
-
Le temps passe, Mme Saliou…
Une petite visite sur la page Facebook de l’Apel nationale m’a laissé rêveur. De quoi parle-t-on partout, à la sortie des écoles, dans les salles des professeurs, dans les journaux ? De la réforme du collège. Et de quoi l’Apel nationale parle-t-elle ? De tout. De rien. Mais en tout cas jamais de cette réforme. Le congrès des Apel approche. Ne serait-il pas temps de parler à vos mandants des questions qui les intéressent ?